vendredi 2 mai 2014

Les Moldaves, sans visa dans l'Union

Le lundi 28 avril, une décision est entrée en vigueur en Moldavie. Egalement autorisée par le Parlement Européen, elle supprime l’obtention de visa pour les Moldaves souhaitant séjourner moins de trois mois dans l’un des pays de l’espace Schengen. Quelles sont les conséquences de cette mesure ? Dans un climat de conflit entre la Russie et l’Union Européenne, de nombreux Moldaves ont célébré la nouvelle à Chisinau, la capitale moldave.
 
"A partir d’aujourd’hui, les citoyens moldaves, sans égard à la langue qu’ils parlent, leur ethnie ou lieu de résidence, sont plus libres." C’est ainsi que le premier ministre Iurie Leancă a salué la nouvelle.  A Chisinau, la capitale, des festivités sont organisées pour l’occasion. Un concert est donné sur la place centrale tandis que depuis plusieurs jours, une immense pancarte "Sans visa dans l’Union"  invite les Moldaves à se réjouir. Nombre d’entre eux attendaient en effet la décision avec impatience. Sur les quatre millions d’habitants que compte la Moldavie, deux tiers sont roumanophones contre un tiers russophone. Beaucoup étudient ou travaillent en Roumanie, en Italie ou en Espagne.

Après la chute de l’URSS en 1991, le pays obtient son indépendance et devient également l’un des pays les plus pauvres d’Europe. Dépendante des investisseurs étrangers, la Moldavie voit depuis plus de dix ans, ses habitants fuir vers les pays européens, à la recherche de travail. Mais obtenir un visa n’est pas chose aisée. Pourtant longtemps rattaché à la Roumanie, l’ancien satellite de Moscou ne fait pas partie de la zone Schengen. Pour aller passer trois jours à Bucarest, le touriste moldave doit prouver qu’il possède un compte en banque, une maison ou qu’il s’est marié et qu’il a donc l’intention de revenir au pays. Un casse-tête bureaucratique et onéreux pour ces habitants dont le salaire moyen avoisine les 180 euros.

"Avec la réforme, les Moldaves n’auront plus besoin de demander la nationalité roumaine, analyse Gehrard. C’est une pratique répandue ici, car obtenir le visa roumain n’est pas une procédure si compliquée." Venu effectuer un service volontaire il y a trois ans à Chisinau, ce jeune allemand est resté vivre en Moldavie. Il donne des cours d’anglais et s’occupe d’enfants souvent livrés à eux-mêmes. Pour lui, l’ouverture des portes européennes va surtout intéresser le tourisme. Il souligne cependant que "peu de moldaves ont réellement les moyens de voyager". Ceux qui veulent quitter le pays pendant plus de trois mois, seront toujours soumis au système du visa de travail ou d’études.

Dès le lundi matin, l’aéroport de Chisinau a accueilli les premiers Moldaves venus bénéficier de l’entrée en vigueur de la loi. Ils se rendaient en Italie mais aussi en Grèce. Une délégation, composée  d’hommes politiques, d’étudiants, de proches de travailleurs immigrés et de journalistes devait en effet se rendre à Athènes pour participer au programme "Sans visas dans l’UE". Une action organisée par le gouvernement moldave, pour marquer une décision qu’il considère "historique".

Article rédigé par Marion Roussey, publié sur  le site de Arte info
e lundi 28 avril, une décision est entrée en vigueur en Moldavie. Egalement autorisée par le Parlement Européen, elle supprime l’obtention de visa pour les Moldaves souhaitant séjourner moins de trois mois dans l’un des pays de l’espace Schengen. Quelles sont les conséquences de cette mesure ? Dans un climat de conflit entre la Russie et l’Union Européenne, de nombreux Moldaves ont célébré la nouvelle à Chisinau, la capitale moldave.
"A partir d’aujourd’hui, les citoyens moldaves, sans égard à la langue qu’ils parlent, leur ethnie ou lieu de résidence, sont plus libres." C’est ainsi que le premier ministre Iurie Leancă a salué la nouvelle.  A Chisinau, la capitale, des festivités sont organisées pour l’occasion. Un concert est donné sur la place centrale tandis que depuis plusieurs jours, une immense pancarte "Sans visa dans l’Union"  invite les Moldaves à se réjouir. Nombre d’entre eux attendaient en effet la décision avec impatience. Sur les quatre millions d’habitants que compte la Moldavie, deux tiers sont roumanophones contre un tiers russophone. Beaucoup étudient ou travaillent en Roumanie, en Italie ou en Espagne.

Après la chute de l’URSS en 1991, le pays obtient son indépendance et devient également l’un des pays les plus pauvres d’Europe. Dépendante des investisseurs étrangers, la Moldavie voit depuis plus de dix ans, ses habitants fuir vers les pays européens, à la recherche de travail. Mais obtenir un visa n’est pas chose aisée. Pourtant longtemps rattaché à la Roumanie, l’ancien satellite de Moscou ne fait pas partie de la zone Schengen. Pour aller passer trois jours à Bucarest, le touriste moldave doit prouver qu’il possède un compte en banque, une maison ou qu’il s’est marié et qu’il a donc l’intention de revenir au pays. Un casse-tête bureaucratique et onéreux pour ces habitants dont le salaire moyen avoisine les 180 euros. 

"Avec la réforme, les Moldaves n’auront plus besoin de demander la nationalité roumaine, analyse Gehrard. C’est une pratique répandue ici, car obtenir le visa roumain n’est pas une procédure si compliquée." Venu effectuer un service volontaire il y a trois ans à Chisinau, ce jeune allemand est resté vivre en Moldavie. Il donne des cours d’anglais et s’occupe d’enfants souvent livrés à eux-mêmes. Pour lui, l’ouverture des portes européennes va surtout intéresser le tourisme. Il souligne cependant que "peu de moldaves ont réellement les moyens de voyager". Ceux qui veulent quitter le pays pendant plus de trois mois, seront toujours soumis au système du visa de travail ou d’études. 

Dès le lundi matin, l’aéroport de Chisinau a accueilli les premiers Moldaves venus bénéficier de l’entrée en vigueur de la loi. Ils se rendaient en Italie mais aussi en Grèce. Une délégation, composée  d’hommes politiques, d’étudiants, de proches de travailleurs immigrés et de journalistes devait en effet se rendre à Athènes pour participer au programme "Sans visas dans l’UE". Une action organisée par le gouvernement moldave, pour marquer une décision qu’il considère "historique".
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e lundi 28 avril, une décision est entrée en vigueur en Moldavie. Egalement autorisée par le Parlement Européen, elle supprime l’obtention de visa pour les Moldaves souhaitant séjourner moins de trois mois dans l’un des pays de l’espace Schengen. Quelles sont les conséquences de cette mesure ? Dans un climat de conflit entre la Russie et l’Union Européenne, de nombreux Moldaves ont célébré la nouvelle à Chisinau, la capitale moldave.
"A partir d’aujourd’hui, les citoyens moldaves, sans égard à la langue qu’ils parlent, leur ethnie ou lieu de résidence, sont plus libres." C’est ainsi que le premier ministre Iurie Leancă a salué la nouvelle.  A Chisinau, la capitale, des festivités sont organisées pour l’occasion. Un concert est donné sur la place centrale tandis que depuis plusieurs jours, une immense pancarte "Sans visa dans l’Union"  invite les Moldaves à se réjouir. Nombre d’entre eux attendaient en effet la décision avec impatience. Sur les quatre millions d’habitants que compte la Moldavie, deux tiers sont roumanophones contre un tiers russophone. Beaucoup étudient ou travaillent en Roumanie, en Italie ou en Espagne.

Après la chute de l’URSS en 1991, le pays obtient son indépendance et devient également l’un des pays les plus pauvres d’Europe. Dépendante des investisseurs étrangers, la Moldavie voit depuis plus de dix ans, ses habitants fuir vers les pays européens, à la recherche de travail. Mais obtenir un visa n’est pas chose aisée. Pourtant longtemps rattaché à la Roumanie, l’ancien satellite de Moscou ne fait pas partie de la zone Schengen. Pour aller passer trois jours à Bucarest, le touriste moldave doit prouver qu’il possède un compte en banque, une maison ou qu’il s’est marié et qu’il a donc l’intention de revenir au pays. Un casse-tête bureaucratique et onéreux pour ces habitants dont le salaire moyen avoisine les 180 euros. 

"Avec la réforme, les Moldaves n’auront plus besoin de demander la nationalité roumaine, analyse Gehrard. C’est une pratique répandue ici, car obtenir le visa roumain n’est pas une procédure si compliquée." Venu effectuer un service volontaire il y a trois ans à Chisinau, ce jeune allemand est resté vivre en Moldavie. Il donne des cours d’anglais et s’occupe d’enfants souvent livrés à eux-mêmes. Pour lui, l’ouverture des portes européennes va surtout intéresser le tourisme. Il souligne cependant que "peu de moldaves ont réellement les moyens de voyager". Ceux qui veulent quitter le pays pendant plus de trois mois, seront toujours soumis au système du visa de travail ou d’études. 

Dès le lundi matin, l’aéroport de Chisinau a accueilli les premiers Moldaves venus bénéficier de l’entrée en vigueur de la loi. Ils se rendaient en Italie mais aussi en Grèce. Une délégation, composée  d’hommes politiques, d’étudiants, de proches de travailleurs immigrés et de journalistes devait en effet se rendre à Athènes pour participer au programme "Sans visas dans l’UE". Une action organisée par le gouvernement moldave, pour marquer une décision qu’il considère "historique".
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"A partir d’aujourd’hui, les citoyens moldaves, sans égard à la langue qu’ils parlent, leur ethnie ou lieu de résidence, sont plus libres." C’est ainsi que le premier ministre Iurie Leancă a salué la nouvelle.  A Chisinau, la capitale, des festivités sont organisées pour l’occasion. Un concert est donné sur la place centrale tandis que depuis plusieurs jours, une immense pancarte "Sans visa dans l’Union"  invite les Moldaves à se réjouir. Nombre d’entre eux attendaient en effet la décision avec impatience. Sur les quatre millions d’habitants que compte la Moldavie, deux tiers sont roumanophones contre un tiers russophone. Beaucoup étudient ou travaillent en Roumanie, en Italie ou en Espagne.

Après la chute de l’URSS en 1991, le pays obtient son indépendance et devient également l’un des pays les plus pauvres d’Europe. Dépendante des investisseurs étrangers, la Moldavie voit depuis plus de dix ans, ses habitants fuir vers les pays européens, à la recherche de travail. Mais obtenir un visa n’est pas chose aisée. Pourtant longtemps rattaché à la Roumanie, l’ancien satellite de Moscou ne fait pas partie de la zone Schengen. Pour aller passer trois jours à Bucarest, le touriste moldave doit prouver qu’il possède un compte en banque, une maison ou qu’il s’est marié et qu’il a donc l’intention de revenir au pays. Un casse-tête bureaucratique et onéreux pour ces habitants dont le salaire moyen avoisine les 180 euros. 

"Avec la réforme, les Moldaves n’auront plus besoin de demander la nationalité roumaine, analyse Gehrard. C’est une pratique répandue ici, car obtenir le visa roumain n’est pas une procédure si compliquée." Venu effectuer un service volontaire il y a trois ans à Chisinau, ce jeune allemand est resté vivre en Moldavie. Il donne des cours d’anglais et s’occupe d’enfants souvent livrés à eux-mêmes. Pour lui, l’ouverture des portes européennes va surtout intéresser le tourisme. Il souligne cependant que "peu de moldaves ont réellement les moyens de voyager". Ceux qui veulent quitter le pays pendant plus de trois mois, seront toujours soumis au système du visa de travail ou d’études. 

Dès le lundi matin, l’aéroport de Chisinau a accueilli les premiers Moldaves venus bénéficier de l’entrée en vigueur de la loi. Ils se rendaient en Italie mais aussi en Grèce. Une délégation, composée  d’hommes politiques, d’étudiants, de proches de travailleurs immigrés et de journalistes devait en effet se rendre à Athènes pour participer au programme "Sans visas dans l’UE". Une action organisée par le gouvernement moldave, pour marquer une décision qu’il considère "historique".
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"A partir d’aujourd’hui, les citoyens moldaves, sans égard à la langue qu’ils parlent, leur ethnie ou lieu de résidence, sont plus libres." C’est ainsi que le premier ministre Iurie Leancă a salué la nouvelle.  A Chisinau, la capitale, des festivités sont organisées pour l’occasion. Un concert est donné sur la place centrale tandis que depuis plusieurs jours, une immense pancarte "Sans visa dans l’Union"  invite les Moldaves à se réjouir. Nombre d’entre eux attendaient en effet la décision avec impatience. Sur les quatre millions d’habitants que compte la Moldavie, deux tiers sont roumanophones contre un tiers russophone. Beaucoup étudient ou travaillent en Roumanie, en Italie ou en Espagne.

Après la chute de l’URSS en 1991, le pays obtient son indépendance et devient également l’un des pays les plus pauvres d’Europe. Dépendante des investisseurs étrangers, la Moldavie voit depuis plus de dix ans, ses habitants fuir vers les pays européens, à la recherche de travail. Mais obtenir un visa n’est pas chose aisée. Pourtant longtemps rattaché à la Roumanie, l’ancien satellite de Moscou ne fait pas partie de la zone Schengen. Pour aller passer trois jours à Bucarest, le touriste moldave doit prouver qu’il possède un compte en banque, une maison ou qu’il s’est marié et qu’il a donc l’intention de revenir au pays. Un casse-tête bureaucratique et onéreux pour ces habitants dont le salaire moyen avoisine les 180 euros. 

"Avec la réforme, les Moldaves n’auront plus besoin de demander la nationalité roumaine, analyse Gehrard. C’est une pratique répandue ici, car obtenir le visa roumain n’est pas une procédure si compliquée." Venu effectuer un service volontaire il y a trois ans à Chisinau, ce jeune allemand est resté vivre en Moldavie. Il donne des cours d’anglais et s’occupe d’enfants souvent livrés à eux-mêmes. Pour lui, l’ouverture des portes européennes va surtout intéresser le tourisme. Il souligne cependant que "peu de moldaves ont réellement les moyens de voyager". Ceux qui veulent quitter le pays pendant plus de trois mois, seront toujours soumis au système du visa de travail ou d’études. 

Dès le lundi matin, l’aéroport de Chisinau a accueilli les premiers Moldaves venus bénéficier de l’entrée en vigueur de la loi. Ils se rendaient en Italie mais aussi en Grèce. Une délégation, composée  d’hommes politiques, d’étudiants, de proches de travailleurs immigrés et de journalistes devait en effet se rendre à Athènes pour participer au programme "Sans visas dans l’UE". Une action organisée par le gouvernement moldave, pour marquer une décision qu’il considère "historique".
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"A partir d’aujourd’hui, les citoyens moldaves, sans égard à la langue qu’ils parlent, leur ethnie ou lieu de résidence, sont plus libres." C’est ainsi que le premier ministre Iurie Leancă a salué la nouvelle.  A Chisinau, la capitale, des festivités sont organisées pour l’occasion. Un concert est donné sur la place centrale tandis que depuis plusieurs jours, une immense pancarte "Sans visa dans l’Union"  invite les Moldaves à se réjouir. Nombre d’entre eux attendaient en effet la décision avec impatience. Sur les quatre millions d’habitants que compte la Moldavie, deux tiers sont roumanophones contre un tiers russophone. Beaucoup étudient ou travaillent en Roumanie, en Italie ou en Espagne.

Après la chute de l’URSS en 1991, le pays obtient son indépendance et devient également l’un des pays les plus pauvres d’Europe. Dépendante des investisseurs étrangers, la Moldavie voit depuis plus de dix ans, ses habitants fuir vers les pays européens, à la recherche de travail. Mais obtenir un visa n’est pas chose aisée. Pourtant longtemps rattaché à la Roumanie, l’ancien satellite de Moscou ne fait pas partie de la zone Schengen. Pour aller passer trois jours à Bucarest, le touriste moldave doit prouver qu’il possède un compte en banque, une maison ou qu’il s’est marié et qu’il a donc l’intention de revenir au pays. Un casse-tête bureaucratique et onéreux pour ces habitants dont le salaire moyen avoisine les 180 euros. 

"Avec la réforme, les Moldaves n’auront plus besoin de demander la nationalité roumaine, analyse Gehrard. C’est une pratique répandue ici, car obtenir le visa roumain n’est pas une procédure si compliquée." Venu effectuer un service volontaire il y a trois ans à Chisinau, ce jeune allemand est resté vivre en Moldavie. Il donne des cours d’anglais et s’occupe d’enfants souvent livrés à eux-mêmes. Pour lui, l’ouverture des portes européennes va surtout intéresser le tourisme. Il souligne cependant que "peu de moldaves ont réellement les moyens de voyager". Ceux qui veulent quitter le pays pendant plus de trois mois, seront toujours soumis au système du visa de travail ou d’études. 

Dès le lundi matin, l’aéroport de Chisinau a accueilli les premiers Moldaves venus bénéficier de l’entrée en vigueur de la loi. Ils se rendaient en Italie mais aussi en Grèce. Une délégation, composée  d’hommes politiques, d’étudiants, de proches de travailleurs immigrés et de journalistes devait en effet se rendre à Athènes pour participer au programme "Sans visas dans l’UE". Une action organisée par le gouvernement moldave, pour marquer une décision qu’il considère "historique".
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